Littératures et cultures étrangères, Lettres et sciences humaines, Culture anglo-saxonne
Une mise en contexte romantique de l'ironie qui souligne la modernité de De Quincey.
Présentation
Thomas De Quincey est connu pour deux textes qui n’ont, en apparence, rien en commun : les Confessions d’un mangeur d’opium anglais, clé de voûte d’un récit autobiographique morcelé, ont longtemps été lues comme l’œuvre d’un romantique mineur, dans l’ombre du poète William Wordsworth ; tandis que L’assassinat, considéré comme l’un des Beaux-Arts cultive la provocation et la fantaisie. Les deux cependant expriment toutes les nuances de l’ironie : De Quincey se confronte aux grands auteurs et proclame son statut d’écrivain mineur pour mieux le dépasser. Rassembler dans un même regard ces deux textes nous permet de rétablir la cohérence d’une œuvre complexe et contradictoire, mais finalement unie, encore et toujours, autour du portrait de l’Anglais mangeur d’opium.
Auteur·e(s)
Céline Lochot est agrégée d’anglais et titulaire d’une thèse de doctorat en études anglophones de l’université de Bourgogne sur l’Ironie dans l’œuvre de Thomas De Quincey. Elle a enseigné à l’IUT de Nancy et désormais à l’université de Lille.
Collection Esthétique et représentation : monde anglophone (XVIIIe - XIXe siècles), les derniers titres
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