Lettres et sciences humaines, Culture italienne, Littératures et cultures étrangères
Peut-on avoir fait la guerre avec passion (en l’espèce, la Première Guerre mondiale) et n’éprouver ensuite aucun remords ? Sondant la vaste production de Carlo Emilio Gadda (1893-1973), cet ouvrage montre qu’elle est de bout en bout travaillée par la mauvaise conscience jamais avouée.
Présentation
L’œuvre de Gadda (1893-1973) est profondément travaillée par le remords d’avoir voulu et aimé la guerre. Cet essai montre comment cette mauvaise conscience, jamais avouée directement, pousse l’écrivain dans de nouvelles erreurs politiques, mais dicte ses meilleures pages. Pour Gadda, écrire, c’est poursuivre sa guerre.
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