Cet ouvrage, devenu célèbre sous son sigle MCSE, a déjà été utilisé par environ 200 000 personnes, étudiants, chercheurs, universitaires, ingénieurs… L’objectif est d’abord de lire et écrire des textes en anglais scientifique avec facilité et pertinence.
L’ouvrage est conçu pour que l’apprenant devienne un véritable utilisateur de l’anglais. La méthode repose sur l’analyse des fonctions et structures nécessaires : measurement, frequency, comparison, modification, link words, time, cause and consequence, hypothesis, modality, purpose and process, impersonal forms, compound nouns and adjectives.
Dans chaque unit, des tests permettent au lecteur de construire son parcours de formation. On peut définir ses objectifs à l’aide de key points et du lexis, en puisant dans les examples in context, les checkpoints…
Tout apprenant de niveau baccalauréat peut utiliser MCSE. Il est destiné aux scientifiques qui doivent utiliser l’anglais dans leur spécialité. Les ingénieurs et professionnels sont également directement concernés.
Sue Blattes est professeur de littérature anglaise à l’université Stendhal de Grenoble.
Véronique Jans est professeur certifié d’anglais à l’école polytechnique de l’université de Nantes. Elle enseigne aux ingénieurs et dans les écoles doctorales scientifiques.
Jonathan Upjohn a piloté le Pool de langues de l’université Joseph Fourier de Grenoble et enseigné à des publics variés de techniciens, ingénieurs, informaticiens, biologistes, géologues…
Passionnés de pédagogie et de culture scientifique, ces trois enseignants ont mis au point cette méthode d’apprentissage sur les fonctions, les structures et le lexique de base de l’anglais scientifique.
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