L’imaginaire de Georges Limbour
Auteur·e(s) Ivanne Rialland
Imaginaire, Arts/Littérature/Langues, Littérature française
L’œuvre de Georges Limbour, surréaliste méconnu, étonne par la richesse et la cohérence de son imaginaire : mêlant vécu et fiction, poésie et peinture, elle s’offre au lecteur comme un conte unique où brillent les derniers feux du romantisme.
Description
Version papier
- Prix :
- 30 €
- Disponibilité :
- Vente directe
- EAN 13 :
- 9782843101472
Version numérique
- EAN 13 :
- 9782377471263 Accéder à la version intégrale en ligne
Découvrir
- Table des matières (PDF, 63 Ko)
Présentation
Surréaliste de la première heure, ami de Bataille, Leiris, Masson et Dubuffet, conteur original et critique d’art prolifique, Georges Limbour, malgré l’admiration de ses pairs, reste méconnu. Son œuvre littéraire, pourtant, d’un style à la fois précieux et familier, déploie un imaginaire singulier dont la cohérence frappe au-delà de la dispersion des textes, due en partie à la négligence d’un homme qui a promené son dilettantisme de son port natal, Le Havre, à l’Égypte et la Pologne.
Après la Seconde Guerre mondiale, ce promeneur impénitent met son goût de la marche au service de son amour de l’art, et devient le visiteur assidu des galeries parisiennes : Limbour chroniqueur est un témoin précieux des querelles qui agitent les avant-gardes artistiques après-guerre. Témoin, mais témoin engagé, Limbour défend dans sa critique d’art l’idéal surréaliste d’un art exprimant la réalité profonde de l’homme et de la nature, et son discours accompagne avec autant d’humour que de sensibilité l’œuvre de ses amis peintres.
Souvent plus proche d’un Baudelaire ou d’un Nerval que d’un Breton, Limbour nous laisse ainsi une œuvre élégante et gouailleuse, parfois nostalgique, qui porte jusqu’à l’orée des années 1970 les derniers feux du romantisme.
Après la Seconde Guerre mondiale, ce promeneur impénitent met son goût de la marche au service de son amour de l’art, et devient le visiteur assidu des galeries parisiennes : Limbour chroniqueur est un témoin précieux des querelles qui agitent les avant-gardes artistiques après-guerre. Témoin, mais témoin engagé, Limbour défend dans sa critique d’art l’idéal surréaliste d’un art exprimant la réalité profonde de l’homme et de la nature, et son discours accompagne avec autant d’humour que de sensibilité l’œuvre de ses amis peintres.
Souvent plus proche d’un Baudelaire ou d’un Nerval que d’un Breton, Limbour nous laisse ainsi une œuvre élégante et gouailleuse, parfois nostalgique, qui porte jusqu’à l’orée des années 1970 les derniers feux du romantisme.
Caractéristiques
- Collection Ateliers de l'imaginaire
- Éditeur(s) : UGA Éditions (ELLUG)
- Date de publication : novembre 2009
- Nombre de pages : 366 pages
- Langue(s) : Français
- Éditeur d'origine : UGA Éditions (ELLUG)
- Mots-clés : Surréalisme
Collection Ateliers de l'imaginaire, les derniers titres
- Monologues de la fureur
- Métamorphoses des mythes : cristallisations et inflexions
- Imaginaires postapocalyptiques Comment penser l'après
- Au fil de l'eau, au fil des textes Littérature et pêche à la ligne
- Les moines pétrifiés Ou la légende des Sarrasins dans le Sisteronais
- Champs de l’imaginaire
- Imaginaire sériel : les mécanismes sériels à l'œuvre dans l'acte créatif
- De l’émerveillement dans les littératures poétiques et narratives des XIXe et XXe siècles
- Mythocritique Théorie et parcours
- Amphitryon, un mythe théâtral Plaute, Molière, Dryden, Kleist
Publié le 12 septembre 2017
Mis à jour le 21 juin 2023
Mis à jour le 21 juin 2023