Culture anglo-saxonne, Littératures et cultures étrangères, Lettres et sciences humaines
Présentation
Si étymologiquement, le mot construction signifie simplement « empiler », il est frappant de constater que le sens plus moderne du terme implique un processus qui ne connote pas l’inadvertance. C’est plutôt une quelconque intentionnalité qu’il implique, une pulsion quasi miltonienne de donner forme à un chaos original, première étape qui inscrit l’architecte potentiel (ou un avatar plus modeste, le bricoleur) dans une séquence de constructions, reconstructions et potentiellement, destructions, porté là où mène la flèche du temps.
Ce concept, ainsi que ses divers avatars affixés, thème de la SAES 2017, est le sujet principal de ce numéro. Sujet éminemment pertinent pour l’Écosse, dont la réouverture du parlement semble avoir marqué la fin d’une longue stase (mais pas une stagnation), en tout cas aux yeux des autres nations, et en quelque sorte la réinscription dans cette dynamique et séquence.
La notion est d’abord traitée sous l’angle des arts picturaux, puis sous celui de la réactivation du passé, avant une dernière partie qui s’intéresse à la révision de différentes époques, préambule à une construction nouvelle, amenée peut-être à déborder la seule Écosse.
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